« Mieux vaut prévenir que guérir ! »

« Nul ne peut rester à insensible de cette pandémie le développement qui requiert l’attention de tous légitimement Adaptons dès lors nos habitudes mais continuons à vivre normalement tout en pratiquant l’inclinaison polie et le sourire du pays du soleil levant. »

Loin de céder à la panique mais attentif à l’évolution du coronavirus, le monde sportif se doit également de prendre ses dispositions pour éviter, autant que possible, la propagation de ce fléau.

S’étendant désormais au monde entier, il appartient aux autorités publiques de prendre toutes les dispositions nécessaires, indispensables à la protection de ses citoyens.

Dans ce contexte, relayant les informations et les mesures préventives décidées par les responsables politiques, le monde du travail, le monde de l’enseignement prennent tour à tour ses dispositions.

Il appartient au monde sportif d’en faire de même.

Dans un premier temps, l’information doit circuler, les mesures préconisées appliquées, nos (bonnes) habitudes quelque peu adaptées.

Ainsi les gestes de convivialité, de fraternité que sont les poignées de mains ou les bises sont pour l’heure déconseillées.

A nous d’imaginer d’autres moyens de montrer notre appartenance à la même famille, nos sentiments fraternels, notre envie de partager de bons moments ensemble.

Et pourquoi pas, pratiquer le eshaku, (*) en référence à la qualification des Belgian Cats aux JO de Tokyo ?

A vendredi !
Jean-Pierre Delchef

(*) Au Japon, les gens ne se touchent pas. Il est parfois de mise de se serrer la main, mais c’est plutôt rare. La plupart du temps, les Japonais s’inclinent légèrement et se sourient. C’est ce qu’on appelle eshaku.